Les journées de la Mémoire |
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Du Lundi 2 mai au jeudi 5 mai 2011
« CHAMOR et ZAKHOR »
« Mémoire et souvenir : Commémoration et espérance »
Chamor et Zakhor, deux principes fondamentaux du judaïsme – Mémoire et Souvenir. Faut-il aujourd’hui se cantonner dans une nécessaire Mémoire rétrospective et donc ne faire qu’un travail de deuil? Commémorer serait aussi se souvenir pour les vivants d’aujourd’hui et de demain dans une Mémoire prospective. Mémoire, commémoration et souvenir. A vouloir légitimement et sans cesse parler, transmettre, témoigner, ne prenons-nous pas un risque de « banaliser » l’indicible et la barbarie? Faut-il au contraire persévérer par le témoignage constant, permanent pour les nouvelles générations. Il n’y a pas de futur pour un peuple qui oublierait son passé.
18H00: Film « La Rafle » (1h55)

Un film réalisé par Roselyne Bosch Avec Mélanie Laurent, Jean Reno, Gad Elmaleh…
Joseph a onze ans. Et ce matin de juin, il doit aller à l’école, une étoile jaune cousue sur sa poitrine… Il reçoit les encouragements d’un voisin brocanteur. Les railleries d’une boulangère. Entre bienveillance et mépris, Jo, ses copains juifs comme lui, leurs familles, apprennent la vie dans un Paris occupé, sur la Butte Montmartre, où ils ont trouvé refuge. Du moins le croient-ils, jusqu’à ce matin de 16 juillet 1942, où leur fragile bonheur bascule… Du Vélodrome d’Hiver, où 13000 raflés sont entassés, au camp de Beaune-La-Rolande, de Vichy à la terrasse du Berghof, La Rafle suit les destins réels des victimes et des bourreaux. De ceux qui ont orchestré. De ceux qui ont eu confiance. De ceux qui ont fui. De ceux qui se sont opposés. Tous les personnages du film ont existé. Tous les évènements, même les plus extrêmes, ont eu lieu cet été 1942.
20H00: Film « Elle s’appelait Sarah » (1h51)

Un film réalisé par Gilles Paquet-Brenner d’après le roman éponyme de Tatiana de Rosnay Le film raconte l’histoire d’une journaliste américaine, vivant à Paris dans les années 2000, Julia, qui prépare un article lié à la rafle du Vél’ d’Hiv’, et celle d’une petite fille juive déportée en 1942 lors de la rafle, Sarah, dont Julia va rechercher les traces. Alors qu’avec son mari et sa fille elle doit emménager dans un appartement du Marais, au 36 rue de Saintonge, Julia apprend que les grands-parents de son mari s’y sont installés en août 1942, et elle recherche qui habitait là auparavant.
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